Chaos more than dumbass || ft. Chaenah la gourgandine ❤

An sí Tintalle Varda Oiolosseo, ve fanyar máryat Elentári ortane, ar ilye tier undu-láve lumbule ; ar sinda-nóriello caita mornie i falmalinnar imbe met, ar hísie un-túpa Calaciryo míri oiale. Sí vanwa ná, Rómello vanwa, Valimar !

Chaenah

Suhwan

OOTD - ft. @Gwak Chae Nah

Chaos more than dumbass

« J’suis sûr que tu serais parfaite en avocate du diable, mais je recherche plutôt celui de l’innocence. » le sourire est taquin, pas sûr que ce soit celui d’un jedi non plus. Il s’enfonce et s’il l’avait prise en avocate, elle le lui aurait peut-être dit.
Au moins, ils s’accordent mieux sur la suite. Comment ne pas ? On est dans le niveau clairement au-dessus de la sitherie.
Un peu comme elle tiens. Chae Nah semble être la fourberie incarnée. Elle est en tout cas très douée dans son rôle. Il devrait s’en offusquer, en bon jedi, mais la situation l’amuse plus qu’elle ne le devrait. Ce “ping-pong” du bien et du mal.
« Embauche-moi hein ? Carrément ? » les méchants n’ont ils pas toujours l’air de s’amuser davantage« En réalité, la supplique que tu lis dans mon regard, c’est plus une prière pour ton âme. » oui d’autant que ce qu’ils servent dans sa cafet’... le regard est exagérément terrifié, et un brin outré, quand il répond « Je sais, de source sûre, qu’on y sert ton poison. Désolée, pas d’obscur-out en vue, mais un plan pour ton clair-out ça peut se négocier par contre. »

Pour elle et sa chevelure ?
Il le nierait. Il ne s’y est perdu qu’un bref instant. Fugace si on voulait un synonyme plus polissé. Son regard se détourne avant la remarque sur la torture. Il met toutefois un peu de temps à la comprendre « Ah… oui t’as raison. » il a beau être toujours prêt comme les scouts, il y a peu de chances qu’il ait encore besoin de tant d’élégance ce soir. Mais s’il retire la veste, il ne desserre pas la cravate de suite. Gentleman prêt à rendre service, il fait passer la pince de la demoiselle dans la liste de ses priorités « Je suis votre plus dévoué serviteur Milady. » votre ? « C’est pour le jeu, t’es la seule à avoir un gage d’erreur pour l’instant. » quel qu’en soit sa nature, il se redresse et tend la main vers la rousse chevelure et avec plus de précision en suivant son indication. L’homme est capable, il ne met que quelques secondes à défaire avec délicatesse la coupable pour lui tendre ensuite. Oui, douce est la chevelure de la criminelle, mais évidemment, le jedi s’arrête avant tout geste déplacé. Parce que lui il n’est pas un Dakho Rabanne ?

Oui, son regard ne peut s’empêcher de lire le nom affiché sur le téléphone lorsque celui-ci insiste trop. Gêné de l’intrusion il détourne le regard. Mais comme elle le mêle finalement à l’affaire, dont il s’est déjà trop mêlé de toute manière, ses yeux reviennent au téléphone puis à la demoiselle « Tu devrais le bloquer tu sais. Je le connais pas dans un autre cadre qu’au boulot, mais déjà là-bas il est pénible. Mets toutes les chances de ton côté pour t’en débarrasser. » ce n’est peut-être pas si simple… et alors ? Il compte se proposer pour lui casser la gueule encore ?
… Être là pour éloigner le vrai sith de l’histoire… ça il pouvait.

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Suhwan

OOTD - ft. @Lee Su Hwan

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Elle pourrait être une experte du barreau mais cela ne serait probablement pas au droit pénal qu’elle ferait référence. Pourtant, dans le cadre juridique et finalement celui de leur conversation, elle s’était dit qu’elle serait bien en mesure de retourner le cerveau d’un juge. Elle ne doutait pas plus de ses capacités à créer la confusion et à attaquer dans l’ombre que de cet outfit incroyable qu’elle aurait pu mettre sous la robe.
Hm.
Le jedi la sous-estimait largement ? Elle pourrait s’improviser avocate du bien sans le faire exprès.
Pourtant à en voir son sourire, elle n’était pas vexée. Le commodore devrait l’être davantage quand même elle ne daignerai même pas le sauver. Il n’aura qu’à se plaindre au service RH ? Si elle choisit ses clients et interprète mal les candidatures de surplus …
Sa tête s’était hochée avec autant de malice quand elle devait confirmer ses paroles que le mot supplique lui avait soudainement donné chaud. Et le rire était tout aussi franc face à une expression de terreur frappante. Devons-nous parler de ce potentiel clair-out ? Le débat serait bien trop long quant à savoir si son âme est perdue à tout jamais ou tout simplement égarée. « Et je sais de source sûre que si le paradis ressemble aux pensionnats religieux, je m’ennuierai à mourir. » Oh elle ne s’y est jamais rendue mais ses sources sont solides. Peut-être feront-elles même partir de l’autobiographie de Choi Mi Ran ? De quoi donner mettre à l’épreuve cette vibe de Romeo et Juliette des temps modernes.
Est-ce que dans l’œuvre la Capulet incite le Montaigu à ôter ses vêtements ?
Après un tel passage, c’est pour lui qu’elle relevait ce point. Autant elle était assurée de maitriser le bouche à bouche, autant elle n’était pas sûre qu’elle soit en mesure de lui arracher sa cravate sans l’étrangler … Pourtant, s’il avait ôté sa veste, il ne s’était pas débarrassé de cette dernière. Voulait-il vraiment tester ses capacités ? Elle n’avait été que trop peu de fois confrontée à la galanterie pour comprendre.

Elle ne pouvait nier qu’elle trouvait cela agréable. Il y avait quelque chose plaisant à être choyée. Et puis, même si ses paroles n’étaient que plaisanterie, elle devait bien avouer que cela lui faisait quelque chose. « Tu viens d’avoir ton diplôme de Jedi pour oser mentionner le mot gage en ma présence ? » Le rire était aussi léger que son cœur à cet instant. Aussi léger que la délicatesse avec laquelle il avait retiré sa pince ?
Une sensation qui n’avait rien à voir avec le cœur qui se serre et l’ombre qui vient obscurcir sa bonne humeur en voyant ce nom sur ce téléphone qui réclame son attention. La pince est récupérée, le ton dans sa voix se faisait déjà plus morose lorsqu’elle l’avait remercié avant de s’asseoir à nouveau convenablement. « M’en débarrasser ? C’est une proposition d’homicide ? » Le rire qui s’était échappé de ses lèvres était plus nerveux qu’autre chose. « Je vais le bloquer. » Joignant les gestes à la parole, elle s’était redressée pour prendre son téléphone. « Et quand il se pointera, klaxonnera et m’insultera en hurlant devant l’immeuble un peu plus loin en pensant que c’est le mien, on fera semblant de ne rien entendre. » Dans tout ça, ne devrait-elle pas se sentir chanceuse de ne pas lui avoir donné sa véritable adresse ? Ou peut-être que sa chance se trouve dans le fait qu’une petite vieille parvient toujours à le faire fuir à l’aide d’un pistolet à bille dans l’immeuble en question ?
Il est plus simple de bloquer un contact sur son téléphone que quelqu’un dans la vraie vie. A peine avait-elle eu l’occasion de l’empêcher de la joindre qu’un dérapage frein à main se faisait entendre dans la rue. Rapidement, son prénom était hurlé suivi d’un nombre incalculable d’insultes qu’elle faisait mine de ne pas entendre. Pourtant, elle ne pouvait nier que cela la touchait quand elle se sentait si salie, si triste et que des larmes brouillaient complètement le fermoir de cette chaîne qu’elle désespérait à ôter.

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sparrow.

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OOTD - ft. @Gwak Chae Nah

Chaos more than dumbass

« Ou alors le paradis est un endroit fabuleux où la force a enfin trouvé son équilibre. Ressembler à un pensionnat religieux ça explique pas mal d’humanoïdes tu sais. » tu n’en sais rien Lee Su Hwan, la dame côtoie une bonne soeur, elle connaît sa propre définition de l’enfer.
De son côté, le sien ressemble à une vaste cantine où on ne sert que des plats préparés remplis de poison ?
C’est sans doute l’une de ses nombreuses versions.
Pourtant, il semble se laisser tenter par une forme d’enfer quand il marque une pause dans sa “mise à l’aise” pour retirer avec habilité la pince d’une meurtrière.
« Les jedi ont le droit de compter les fautes. » ils sont excellents en mathématiques de casse couilles c’est ça ?
Il aurait pu rajouter un truc du genre, une traduction qui condamne un peu moins son ordre si les choses n’avaient pas viré au drame.

Derniers instants de paix, il ne prend au final pas le temps de se mettre plus à l’aise.
Evidemment, l’ennui avec ce genre d’individus, c’est que ça ne se fatigue pas aussi facile.
La suggestion simple franchit ses lèvres et il tente de détendre l’atmosphère malgré le poids qui fait plus que la menacer à présent « Je crois pas qu’on soit encore assez proches pour enterrer des cadavres dans les bois. » alors le blocage est préférable. Sans doute. Et il se sent manifestement assez proche pour approuver ce plan d’un « Je reste là cette nuit, t’inquiètes. » elle est grande, il le sait. Et s’il espère que Dakho ne viendra pas trainer dans le coin, il est au regret de constater, avant même qu’ils aient véritablement le temps de se plonger dans le film, que la jolie rousse possède un don de prédiction.

Il ne bouge pas et pourtant se tend légèrement dans le canapé.
Un instant, il hésite à sortir et son regard dérape à deux reprises vers l’empoisonneuse.
Mais il a l’intelligence de se dire qu’il ne lui rendrait pas vraiment service.
Alors malgré son dégoût profond pour ce genre d’individu, il serre le poing et prend la télécommande pour monter le son sans se soucier de ses voisins « Du coup, t’étais plutôt Jake, Will ou Elizabeth ? » vraiment ? T’as pas trouvé mieux comme question pour couvrir l’ambiance de rue.
Le boulet du sofa, c’est un peu comme ça qu’il se sent sur le coup. Il peine à se détendre, le con qu’on entend encore dans le fond n’aide certainement pas « Je suis désolé… que t’aies croisé la route d’un con pareil. » il ne l’a pas programmé, il n’a pas maudit son karma, et pourtant quelque part il sent que le monde devrait s’en excuser de posséder des êtres comme Dakho en ses rangs.

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Pierres. Un tas de pierres bien lourdes. C’est probablement sous quoi elle aurait enterré ce pauvre Dakho afin de dissuader quiconque de creuser pile à cet endroit-là. Le puit aurait pu être une option envisageable mais la probabilité que le corps soit découvert était bien trop grande. Et quelle est la probabilité pour qu’elle soit capable de dissimuler un cadavre seule et sans aide extérieure ?
L’entendre décliner cette proposition n’avait rien d’étonnant. Si elle était persuadée qu’on pouvait découvrir des choses chez les autres au détour d’une plaisanterie, sa réponse lui donnait pourtant tort. Pourtant, elle y songera probablement à nouveau d’ici quelques jours, quand elle sera parvenue à remettre un peu d’ordre dans sa tête.
Je ne crois pas qu’on soit encore assez proche pour enterrer des cadavres dans les bois.
Encore.
Est-ce que cela veut dire que la possibilité pour qu’ils le deviennent existe ? Plus proche que maintenant, pas réellement pour enterrer des macchabées ? Dans le fond, bien des étapes ont déjà été brûlées lorsque celui qu’elle connait à peine affirme qu’il restera cette nuit. Elles sont probablement entièrement consumées quand cela a le don de la rassurer plutôt que de l’angoisser ?
Parce qu’elle savait pertinemment que le scénario annoncé allait se produire. Elle le savait parce que c’était déjà arrivé. Elle le savait que les refus étaient quelque chose que Dakho avait du mal à tolérer. Et pourtant, elle avait continué de le côtoyer ?
Elle essayait de ne pas y penser en focalisant son attention sur ce collier qu’elle n’arrivait pas à retirer. Une tentative bien vaine quand les images et les traits se brouillaient par des larmes qui finissaient malgré elle par couler. Elle avait beau les essuyer rapidement et discrètement par soucis de make up ou par soucis de fierté, elles étaient tout de même là. Tout comme la peine qu’elle cherchait désespérément à dissimuler en réfléchissant sincèrement à sa question.
« Hm. » Il était compliqué de penser avec un tel brouahaha à l’extérieur et dans sa propre tête. « Je préfère Jack mais Will est un personnage cool aussi. » Un kleenex avait rapidement été attrapé sur la table basse pour effacer les quelconques potentielles traces de maquillage ayant coulé.
« Je suis désolée que tu sois témoin de ça. » Il n’avait pas à s’excuser, n’était-il pas irréprochable depuis le départ ? A son sens, c’était plutôt à elle de s’excuser.
Après un léger soupir, elle s’était à nouveau adossée contre le dossier du canapé. Elle avait cherché à focaliser son attention sur le film, les bras croisés mais la tâche était bien plus difficile qu’elle n’y paraissait. Finalement, son regard avait fini par dériver sur ce pauvre Jedi démuni et avait osé demander : « Est-ce qu’on est pas encore assez proche pour que tu me prennes dans tes bras ? »

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OOTD - ft. @Gwak Chae Nah

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Détourner l’attention, rendre l’atmosphère moins pesante.
C’est le genre de quête qui vient envahir ses pensées à présent.
Ce n’est pas sa meilleure réussite. Il le sent bien. Comme un malaise, une lourdeur dans l’air.
Il fixe un dos, il cherche les mots.
Et puis une question inutile se pose.
C’est la première qui lui vient.
Il aurait sans doute espéré trouver mieux.
A la première réponse, il espère bêtement pouvoir mieux s’en tirer en rebondissant éventuellement…

… mais un mouchoir est attrapé… et il comprend qu’il ne sert à rien de se battre.
L’ambiance pesante est là. Le connard est parvenu à tout gâcher.
Alors il se redresse du canapé, et il choisit de ne pas le nier avant la demande de l’empoisonneuse.
Il lui aurait sans doute frotté doucement le dos. Ce genre de gestes réconfortants qu’on a quand on ne connaît pas trop les limites.
De toute façon, comment nier quand l’autre beugle encore en arrière plan ?
Difficile de l’ignorer plus longtemps.

Proches, ils ne le sont pas assez.
Mais un con change un peu les règles. C’est ce qu’il aurait pu lui dire pour tenter une plaisanterie.
Il préfère toutefois se la fermer. Sage décision. Il vaut mieux l’aider à planquer ses yeux rougis qu’elle ne dissimule pas si bien.
Ses bras s’ouvrent, sa main se permet de presser doucement une nuque pour l’y attirer avant de faire le geste qu’elle allait se permettre de faire plus tôt. Doucement, elle s’essaie à l’apaisement en glissant sur un dos.
Il ne sait pas trop ce qu’il peut dire. Sa potentielle maladresse lui fait peur.
Il ignore les mots rassurants qu’elle pourrait avoir envie d’entendre. Alors, il la resserre d’abord doucement contre lui.

« ça va aller…. » sans doute plus facile à dire. Une promesse en l’air, il ne lit pas dans l’avenir. « Tu vas lui vendre plein de tes plats et t’en seras débarrassée » note d’humour qu’il tente après plusieurs minutes à avoir gardé le silence.
Il ferait mieux de sortir et de se débarrasser lui-même du corps en bon jedi qui bascule du côté obscur « En attendant, ne t’en fais pas, je squatte ton canapé.»

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Dans le fond, c’était humiliant.
Elle aurait préféré ne jamais se retrouver devant cet état-là devant lui.
Devant quiconque finalement.
C’est le genre d’image qu’elle n’aime pas montrer. Une fragilité qu’elle préfère dissimuler en dehors de son inquiétude de se dévoiler avec du mascara qui a coulé. Elle préfèrera toujours afficher une mine souriante, son côté chiant au possible ou le côté bimbo écervelée qu’elle s’est construite. Ces larmes, c’est le genre de chose qu’elle ne veut montrer à personne, pas même à ceux qui lui sont extrêmement proches.
Pourtant, elles avaient bien fini par couler par elles même et il serait clairement l’insulter que de s’imaginer qu’il ne les voyait pas. Tout ce qu’elle pouvait faire à ce moment là était donc … de s’excuser ? Pour avoir ruiné sa soirée, pour ce coup qu’il a pris pour elle, pour avoir à la voir dans un tel état, pour avoir à rester là alors qu’il a probablement mieux à faire et à avoir à supporter des cris devant son bâtiment. Si elle doutait encore de la perpétuité qu’il était prêt à la charger, elle n’en doutait certainement plus à ce moment-là.
Alors pourquoi ne pas se rendre pas plus condamnable en demandant une étreinte ? Foutue pour foutue, ce n’est pas un refus qui allait lui faire encore plus mal.

Pourtant, elle aurait dû se douter que le Jedi est gentil. Quand il avait ouvert les bras, elle n’avait pas pu retenir une moue d’enfant, avec la lèvre qui tremble un peu et les yeux larmoyants avant de se laisser guider. Sur le moment, ça lui avait peut-être arraché un peu plus de larmes mais rapidement, sa douceur et son parfum avaient réussi à l'apaiser.
Finalement, elle n’avait pas besoin de grand-chose, juste de quelqu’un. Et à ce moment-là, il était ce quelqu’un qu'il lui fallait.
« J’suis plus tout à fait sûre qu’il est soit à m’en racheter maintenant. » Elle avait essayé de rire un peu en ajoutant : « J’ai perdu un gros client. » Sa tête avait ensuite acquiescé ses paroles avec précaution afin de ne pas tâcher ses vêtements.
Précautions que l’autre tocard aurait dû prendre avant de hurler dans la rue ? Les insultes de la mamie du bâtiment voisin et les coups de son pistolet à billes s’étaient subitement fait entendre, la faisant légèrement sursauter. Sans plus attendre, Les plaintes d’un Dahko malmené avaient suivi puis peu de temps après, une accélération brusque indiquant une fuite précipitée. Enfin débarrassé ? « Peut-être qu’elle a touché un point vital et que les soupes ne seront plus nécessaires ? » Foutre une mamie sous les barreaux pour homicide involontaire, t’as pas honte ?

Et profiter de la gentillesse d’un Jedi non plus ?
Cela allait un peu mieux quand elle s’était redressée, mettant fin au passage à l’étreinte. Quant au reste, cela ira probablement encore mieux demain ? « Je vais aller me coucher. » Elle avait pris quelques instants pour essuyer ses yeux avec un peu plus d’attention avant de se lever pour se diriger vers la salle de bain qu’elle avait fini par désigner. « La salle de bain et les toilettes sont ici au fait. Je te préparerai serviettes, brosse à dent et tout ce qu’il te faut à côté du lavabo. Tu peux utiliser mes soins si tu veux. Enfin, fait comme chez toi ? » C’est donc ça, le Jedi privilège ? Elle avait vu l’état de sa peau, elle sait qu’il saura les utiliser à bon escient.
Assurée qu’il avait bien récupéré toutes les informations, elle avait passé la porte avant de faire un nouveau pas en arrière. « Et encore merci d’être là. » Elle avait laissé un sourire sincère passer sur ses lèvres avant d’entrer et s’enfermer dans la pièce.
Démaquillage, douche, brossage de dent, pyjama … Je vous passe les détails car il s’agit tout de même de Gwak Chae Nah et qu'il n'est pas l'heure d'écrire un roman sur sa skincare.
Non finalement, tout le défi résidait finalement dans le trajet Salle de bain – Chambre qui impliquait fatalement un passage dans le salon. Dans un pyjama un peu trop révélateur ? Oh ça, peu importe, si elle était pudique, cela se saurait …
Démaquillée ?
C’était là le coeur du problème. Et probablement que ce pauvre Jedi n’a jamais vu quelqu’un passer aussi vite sous ses yeux de toute sa vie.
« Bonne nuit ! »

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