Voilà ce que je propose : … Qu’est-ce que vous en pensez ? ft jin

Voilà ce que je propose : … Qu’est-ce que vous en pensez ?

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Cette journée lui semblait bien monotone. Si il devait le dessiner, cela ressemblerait probablement a un tableau en noir et blanc, complètement fade. Le ciel était gris, il ne faisait pas spécialement froid, ni spécialement chaud. Les gens passaient dans la rue, certains s’arrêtaient devant la vitrine et certains, n’étant pas stoppé net par le prix des articles, étaient entrés. On était bien loin de la folie furieuse des soldes de printemps chez Les Galeries Layette.
Triste constat après qu’un centième soupire se soit échappé de ses lèvres. Leo il aurait rêvé que ce soit la folie furieuse.
Mais non. Leo il a l’air d’un con derrière sa caisse. Il fait des cents pas, réajuste quelques sacs à main sur leur présentoir et prend quelques minutes pour conseiller cette petite vieille qui souhaite dépenser ce qui aurait pu être une partie de son héritage. Il lui a sûrement bien plus, vu le chiffre qui avait fini par s’afficher une fois à la caisse et le clin d’œil qu’elle lui a accordé à la fin.
…
Elle n’avait clairement plus l’âge pour le faire vibrer.
Et il en était persuadé, cette vibration dans sa poche n’avait rien à voir avec elle.

Ce SMS avait des allures du signal de lumière de Batman dans la nuit noire. Clairement un appel au secours, un damoiseau en détresse. Enfin, pour le coup, Leo aurait peut-être été davantage celui qui se fait casser la gueule par l’homme chauve-souris que celui qui endosse le costume mais peu importe. A son échelle et à son niveau de moralité, il lui avait répondu par la positive.
Dans le genre articles spéciaux pour clients spéciaux, il avait ce qu’il fallait. Clairement pas le genre de chose qu’il aurait pu vendre à la mamie, à moins qu’elle n’ait déjà choisi sa mort et ait sélectionné l’overdose ? Quoique, il pourrait bien être étonnée, des années à se poudrer le nez, on ne sait jamais ….
Et ça n’avait peut-être l’air de rien mais ça lui avait mis un peu de gaieté dans sa journée. Un faible rayon de soleil en ce temps si nuageux. Un semblant d’action de rien du tout … wow, sa journée était si ennuyeuse que ça ?

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ft. @Hwang Leo

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ça lui prend la tête.
Correction : ça lui prend très fortement la tête.
On essaie de se faire sa petite vie sur Gwangju, on reste bien sagement dans son coin, et alors qu’on en a jamais rien eu à foutre de vous chez les Wu, ça trouve le moyen de vous appeler pour vous emmerder.
C’est un peu l’idée, la teneur de ses pensées, quand il raccroche son téléphone d’une conversation tout sauf amical avec son père aka Monsieur j’oublie de mettre une capote et après j’emmerde les autres.
Un coup de fil composé de nombreux reproches. Même pas un petit “ça va mon fils ?”, rien, quedal, nada.
Des gnagna ton frère et autres blabla le mariage, petite prière de ne pas faire de vague pour l’image et autres genres de conneries qui l’avaient foutues de fort méchante humeur au point de se retrouver à déambuler, et à souffler dans les rues d’une ville dans laquelle il avait demandé asile.

C’était mal.
Même très mal.
Mais sa voix de la raison est sans doute trop faible dans son cas.
Pas assez forte pour qu’il ne fasse pas cette connerie d’utiliser le joker à un ami et d’envoyer un sms à celui qui en recevait généralement un… quand il voulait jouer aux cons ?
Ouais… quelque chose dans ce goût-là.
Il y avait pourtant eu cette vague tentative de promesse - là encore quelque chose dans ce goût-là, lorsqu’il avait déménagé pour vivre avec son frère.
Mais voilà… le côté obscur de la force, quand on y avait goûté… on se retrouvait à pousser les portes d’une maroquinerie pour autre chose que pour acheter un sac à main… « Salut. » un besoin, irrépressible besoin même… l’air affiché est détendu, relax… et pourtant, dans sa tête ça tourne… dans sa tête ça le pousse et ça dit que c’est ce qu’il lui faut à tout prix « Je viens chercher le dernier Valentino pour ma copine. » ah si seulement… Dan aurait adoré que tu sois ce genre de petit ami là… plutôt qu’un petit frère source de problèmes…

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Et peut être que cet ennui avait même fini par teinter l’air ?
Quand le démon coréen était rentré, Léo l’avait tout de suite remarqué. Non pas parce qu’il était de ces rares du jours a pousser la porte mais plutôt pour la mine qu’il affichait. Pas de sourire idiot, pas de sourire malicieux et pas l’expression d’un type qui est prêt à ruser. A la place, il affichait une mine de dix mètres de long. Finalement, le rayon de soleil de sa journée se fait un peu faiblard
…
Cette journée est catastrophique.
Mais il fallait essayer de garder la face ? Oui. Un minimum pour avoir l’air d’être en vie. Alors derrière ce contoire dont il rêvait de s’échapper, il l’avait salué en retour. « Salut. » Qui des deux transpirait le plus la joie de vivre ici ? Disons plutôt, que certains avaient plus de raison d’afficher cet air morose qu’un autre. Celui-là même qui venait chercher le dernier sac Valentino. « Je vois. » Peut-être qu’il devrait songer à ce genre de remontant, lui aussi … « Je vais te chercher ça. »
Il s’était alors absenté quelques instants, fouillant dans la réserve à la recherche du fameux bien, le fameux Valentino. Pourtant, en sortant de la réserve, c’est un faux parfait qu’il tenait entre ses mains gantées. Vaste illusion afin que la supercherie soit avalée par n’importe qui. Evidemment, le dit client est parfaitement au courant. Ce n’est pas réellement le Valentino qu’il recherche, mais plutôt ce qu’il renferme, ce qui se trouve derrière les coutures cachées.
Pourtant, il lui a tout de même présenté comme s' il cherchait à vendre le sac à main. Après quelques manipulations, il a fini par lui demander. « Ça te va ? » Quoi, cette maroquinerie qu’il ne veut pas. « Même usine que la dernière fois. » Impossible de parler de produit lorsqu’il s’agit d’une nouveauté. « De toute façon, tu sais où me trouver si il y a un problème. » La probabilité pour qu’il y en ait un ? Basse mais on ne sait jamais.
Et quand il eut fini de lui montrer, il a fini par légèrement s’inquiéter. « Ca a pas l’air d’aller … ? »

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Sa copine serait contente.
Tout le monde se l’arrachait ce fameux sac.
Son frère le serait moins.
Heureusement, comme toujours, il ne cramerait rien.
Aucun reproche là-dedans, le Wu Junior est passé maître depuis longtemps.
Peut-être un truc qu’il a piqué à son père… l’art de faire semblant et de mentir. Il l’a simplement perfectionné. C’est un truc bien connu : les bâtards sont toujours meilleurs.
Sans doute pour compenser le fait qu’ils héritent d’une vie plus merdique que la progéniture officielle.
« C’est sympa, merci. » un truc plus sympa, selon les autres : ne pas lui refiler son sac.
C’est son boulot à Leo.
Lui son boulot, c’est d’être con et de faire de la merde.
A chacun son truc.
Au moins il excelle dans le sien.

Alors, quand Leo revient, il fait le con malin.
C’est à dire qu’il vérifie. Au prix qu’est supposé coûter ce sac, il est normal qu’il y jette un oeil pour le bonheur de sa copine « C’est parfait, comme d’hab. » puis il le paie, sans faire davantage semblant.
La connerie est faite, elle sera même consommée. Mais franchement, le rebond raisonnable, il avait peu de chances de l’avoir.
Encore moins quand il affiche une gueule aussi évidemment des mauvais jours ?
Son regard se repose sur Leo et il hausse les épaules « Ma copine est chiante. Mais avec ça, ça devrait la calmer. » il n’en n’a pas… disons que ça le calmerait lui et que ça l’aiderait à supporter son abrutie de famille « Le célibat, y’a que ça de vrai. » Leo sait bien, qu’il n’a pas de copine. Pas qu’une seule en tout cas. Pourtant, malgré la connerie qu’il débite, il se permet de faire la conversation. Quelques minutes. Sa copine peut bien attendre au moins ça pour le Valentino. Il préfère être tranquille pour lui offrir « Et toi quoi de neuf ? »

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Visiblement, cette journée n’était bonne pour personne. Même pour les âmes les plus endiablées.
Dans le fond, Leo ne connaissait pas beaucoup Jin. La majorité de leurs échangent comprennent généralement au moins une transaction. A partir de là, il est inutile de préciser qu’il n’était pas le genre de type avec qui il s’est lié d’amitié dans un bar. Au contraire, il avait même été surpris de savoir qu’ils avaient des connaissances en commun. C’est dire la manière avec elle ils s’étalent sur leurs vies ?
Pourtant, il n’avait pas pu ne pas remarquer la mine qu’il affichait. Mais au départ, il ne l’avait pas questionné. Il avait préféré agir en professionnel, lui présentant d’abord son produit comme il l’aurait fait si son visage était moins terni avant de finalement l’interroger.
Cette mine le perturbait un peu. Que deviendrait le monde si son soldat le plus divertissant est à terre ?
Les femmes auraient pu être une explication plausible. Sans vouloir être misogyne ou problématique, elles ont vraiment les moyens de foutre en l’air le plus brave des types. Mais de meuf, Jin n’en a pas. Du coup, quelque chose ou quelqu’un fait chier. Oserait-il lui demander quoi ?
« Hm, je vois. » Il avait eu un léger sourire en coin même si finalement, il ne voyait pas vraiment. Mais il comprenait l’ambiance, c’était le principal non ? Préparant soigneusement son paquet, il avait à son tour transmit le bonheur transcendant de sa journée. « J’hésite à me jeter sous un bus à la sortie tellement ma journée fut passionnante aujourd’hui. » Oulah, mais quelle joie de vivre incroyable ? Ouais, il en avait même soupiré … « Ou à me mettre minable au point de ne plus savoir comment je m’appelle. » Fouillant un instant dans un tiroir, il en avait sorti un stylo qu’il avait glissé dans le sac. « Tiens, c’est cadeau de la maison. » Alors heureux ? Un magnifique stylo bleu ? Non, enfin si, mais pas seulement. « Tu penseras à retirer la mine et tu me diras ce que tu en penses. » Ouais, parce que le comble c’est que Leo vend mais ne consomme pas. Lorsqu’il dit que c’est de la qualité, c’est parce que c’est ce qu’on lui a dit.

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Ce soir, chez Boris, c’est ambiance dépression.
Faut croire.
A l’évidence, la joie de vivre ne fait partie du lot de l’échange.
ça force. Un ou deux sourires polis. Comme ça. On l’a éduqué après tout. Mais le coeur n’y est pas franchement et, de son côté, il n’a vraiment le goût que pour ses merdes qu’il est en train d’acheter.
C’est fou… comme un truc qui vous ruine à ce point… parvient à vous donner l’illusion de vous faire du bien. Les types qui sont parvenus à inventer toutes ces merdes étaient sans aucun doute de grands génies du commerce…
« J’te conseille pas le bus. Tu devrais méditer à un projet un peu plus abouti. » ouais enfin… ils pourraient aussi passer à un sujet plus joyeux « Sans compter que se mettre minable, ça reste moins radical » Wu Jin, l’ami qu’il vous faut pour vous dissuader du mauvais geste.

Se mettre minable … la mort est juste plus lente, l’agonie plus discrète… on ne se rend même pas tout à fait compte qu’on crève à petits feux… on se rend bien compte pourtant, parfois, qu’on frôle avec la fin à chaque dérive…
Ou pas totalement dans son cas…
Parce que ces derniers temps, il a fait de vrais progrés.
Aujourd’hui, il ne semble même pas hésiter un instant à les foutre en l’air.
« C’est un Mont-Blanc ? Cool. Mon père en avait un quand j’étais gosse, ça va me rappeler des souvenirs. » ah ouais génial.
D’une, ça ne ressemble pas à un Mont-Blanc.
Deux, pour les souvenirs d’enfance, ce n’est sans doute pas le bon moment.
Mais le chinois range le stylo, puis son regard se relève vers le héros macabre… hésitant quelques secondes avant d’ajouter « A quelle heure tu peux fermer ? Si tu veux, on peut se faire l’option 2 ensemble. J’étais plus du genre à partir sur un plaisir solitaire mais bon, vu ta gueule, j’veux bien faire un effort de sociabilisation. » ouais… vu de l’extérieur, cette conversation… pas sûr que beaucoup d’oreilles ne l’interpretent de la manière correcte.

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Quitte à vendre de quoi faire tourner la tête, Leo aurait peut-être dû choisir la voie de l’antidépresseur. L’ambiance transpire le corps qui se balance au bout d’une corde, bien loin du genre d’effet que produisent ce qu’il a dans son stock. Si il n’était pas complètement conscient que cela est une mauvaise idée, peut-être qu’il aurait pu se lancer tenter. Peut-être que malgré ça, la pensée l’avait quand même traversée.
Non, le bus avait l’air d’être une possibilité plus safe et en plus, plus radicale. Mais peut-être pas assez travaillée ? Pensée partagée par ce nouveau compagnon de dépression, qui eut don de le faire réfléchir un peu plus … « Ouais, il pourrait freiner. »
Mais qu’est-ce qui leur arrive ?
Cette journée était une catastrophe pour le moral, méritant largement d’être envoyée aux oubliettes. Pour Leo, la mine était tentante. Pour Jin, c’est une autre mine qui lui offrait. Un stylo surprise sur lequel il portait son attention quand le jeune homme énonçait une marque. Move un peu con du type qui n’y connait rien en marque de stylo reconnue et qui n’a aucunement conscience des relations du diable avec son daron. « T’as l’air emballé. » Ne le sont-ils pas tout les deux depuis le début ?
Un soupire avait eu le temps de passer ses lèvres avant que le chinois ne balance une proposition alléchante. L’option deux était là, à bout de bras. Il n’avait qu’à tendre la main pour la saisir.
Un regard vers l’horloge murale et … Encore une heure à travailler.
Normalement.
Parce que si cette découverte lui avait brisé le cœur l’espace d’un instant, il avait tourné les yeux vers son sauveur. « Maintenant. »
Il avait attrapé une feuille pour y noter grossièrement une fermeture exceptionnelle. Sûrement qu’il se ferait allumer par son oncle si il venait à l’apprendre mais la détresse était trop grande.
La caisse fermée en quatrième vitesse, le temps de prendre ses affaires et les voilà déjà dehors face au rideau qui se baisse. Derrière eux, un pas de course et rapidement, un type essoufflé qui pointe son nez. « Ah. » Denis Brogniard ? « Désolé, on est fermé. » Parole prononcée sans aucune compassion, accompagnée d’un haussement d’épaule. Sans le moindre regard, il s’était mis à avancer avant d’adresser à son compagnon de fortune. « T’as une idée de l’endroit parfait pour se mettre à l’envers ? »

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Est-ce que sa mauvaise humeur est contagieuse ?
Question ô combien légitime à voir la gueule et le ton du vendeur qui lui fait face.
Il ne s’en veut pas. Il lui propose une solution de repli, de réconfort catastrophique… bien plus efficace qu’un bus. Moins radical en réalité….
Et si la remarque du dealer parvient à lui arracher un sourire, on doute que ses lèvres éprouvent la même envie quand il “déconne” sur son paternel « Tu sais, moi les histoires de famille, c’est toujours un instant émotion garanti quand je les évoque. » Leo a raison : il a l’air emballé.
Le ton blasé est là. Le sauvetage n’en n’est pas moins proposé, puis accepté.
Le chinois hoche la tête et laisse son regard traîner vaguement sur une feuille de papier où Leo inscrit quelques mots.

En moins de temps qu’il n’en faut pour dire “accident de frein”, ils se retrouvent à l’extérieur, face à un type qui n’aura rien aujourd’hui.
Aucune compassion sur le visage de l’étudiant qui s’allume une clope et réfléchit en marchant aux côtés de son copain dépressif.
Le meilleur endroit pour une bonne mine… il en connait quelques uns.
Sur l’écran de son téléphone, il consulte l’heure et le choix semble s’en imposer « Y’a un bar pas loin, il ouvre dans 10 minutes. On peut résa une salle à l’arrière, le patron me la laisse toujours quand je veux faire mes devoirs au calme. » est-ce qu’il a seulement déjà fait ses devoirs là-bas ?
Qui sait ?

La question posée, ou non, il prend la direction de leur lieu de dépression et y arrive 7 minutes après l’ouverture. Le temps de se griller une deuxième clope et de poser une ou deux questions à son camarade.
La salle réservée, il abandonne ses affaires sur la banquette et commande à boire au patron qui ne mettra que 3 minutes à revenir avec leur plateau. Se défoncer le gosier sec, c’est sacrilège à priori.

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Léo n’était pas sur de comprendre. Finalement, il ne connaissait pas suffisamment Jin pour connaître ses relations avec sa famille. Globalement, il était un de ces clients avec qui il s’entendait bien. Le genre de client qu’il n’envoie pas bouler quand il tente de faire ami-ami, le genre avec qui il partage une compilation des meilleures façon de se foutre en l’air visiblement.
C’est pour cette même raison qu’il n’a pas cherché à en savoir davantage. Il n’en avait pas rien à faire mais il se disait que si il ressentait le besoin de s’étaler sur le sujet, il le ferait par lui même. Mais pas sous les rails d’un train, pas alors qu’ils ont une corde autour du cou ou sous les roues d’un autocar. Il n’était pas sûr qu’ils étaient capables correctement.

Un bar était une option plus envisageable et quelque part, sûrement plus économiques pour leurs proches. « Tu fais tes devoirs dans un bar ? » Sourcils froncés, regard intrigué quand il n’est pas sûr si il était sérieux ou se foutait complètement de sa gueule. « J’sais pas pourquoi, ça m’étonnerait pas. Même si j’aurai plus misé sur le club de striptease. Tu pourrais sortir un truc du genre: C’est une ambiance super convivial, on est devenu une famille. Tout en matant vite fait une paire de nichons qui arrive pour t’aider avec ton devoir maths. »
Ouais, à force, il avait fini par imaginer la vie d’un démon chinois. Rien de péjoratif, pas de jugement, seulement pour lui Jin avait certainement une vie d’artiste.
En entrant, il n’y avait pas de devoirs à rendre. Pas de string ficelle non plus. Seulement une banquette et un apéro rapidement servi. Verre rapidement saisi, mouvement reste en suspend un instant le temps de trinquer. « A cette journée de merde et à celles à venir. » Il ne fallait pas se leurrer, il y en aura probablement d’autres. Mais en avalant cul sec son verre, le jeune homme ne voulait pas y penser. Léger instant de silence le temps d’accuser la brûlure avant de demander. « Tu viens souvent boire ici tout seul ? »
Es-tu alcoolique Jin ?
Le verre est reposé sur la table basse avant qu’il ne s’installe plus confortablement sur la banquette. « Ou tu viens juste faire des maths du coup ? »

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Plutôt cafés que bars en réalité.
A Séoul, il avait même son spécial quai 9 ¾ .
Le silence pur, il n’est pas trop fan. Curieusement, ça vient perturber sa concentration et il travaille mieux à l’extérieur que dans le calme de sa chambre. Même la bibliothèque, ce n'est pas tellement son délire. Un problème avec les ambiances studieuses sans doute.
Le calme, synonyme de négatif pour lui.
« ça apaise nan ? Alors que bosser dans une bibliothèque avec une vieille nana au comptoir qui te regarde mal, ça angoisse. » vu sous cet angle, ça n’a pas l’air si lunaire « Et ça va sans doute t’étonner, mais j’suis pas très club de striptease en réalité. » non pas qu’il doutait que Candice connaisse ses tables, mais il n’y trouverait quelque chose de divertissant que s’il devait y traîner Dan un jour.

« Et à celles passées, toujours dans nos cœurs. » le verre en rencontre un autre, les gorgées sont avalées sans mal et peu importe qu’il soit trop tôt pour ça « J’viens là pour les maths. Tu sais moi les chiffres, c’est ma passion depuis que j’ai quoi… 3 ans ? J’suis né avec un boulier dans les mains. » attends, tu fais pas des études pour être le futur Patrick Jane ?
Ouais. Mais aujourd’hui il est de repos et n’étudie pas grand chose quand il sort une cigarette de son paquet pour abandonner ce dernier sur la table d’un geste de la main qui veut clairement dire sers toi. Partageur l’enfant, il le fera aussi avec une drogue plus dure qu’il a pourtant payé à la personne présente dans cette pièce.
L’argent n’a jamais été un problème, sauf quand on le punit de cb. Et encore là, c’est sans doute sans y penser qu’il aurait également refilé au distributeur le cachet magique dont il prend l’un des jumeaux pour le placer dans sa bouche.

Trois petites lettres si innocentes qui les feront pourtant décoller vers un autre monde quand elles feront leurs effets.
Un monde moins prise de tête. Un monde bien loin de la réalité… désir d’y voguer rapidement qui se trahit dans un soupir une fois la substance absorbée.
Puis il tire sur sa clope et il attend « Mais tu ne me feras pas croire que toi t’étais du genre biblio. »

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ft. @Wu Jin

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Trop souvent Leo s’est imaginé la vie de ses clients. A défaut de les connaître réellement, il préfère leur inventer des vies. Jusqu’alors, c’est Jin qui avait la plus divertissante. Il y avait quelque chose de morose dans cette ancienne star du porno aux cheveux décolorés et au manteau léopard mais pas davantage de couleur dans ce jeune entrepreneur au costard trois pièces. Dans le fond, ce n’est pas parce qu’ils ont des vies de merde, avec un job de merde et une vie de famille de merde qu’ils venaient lui acheter des pilules pour les amener dans un autre monde ?
Evidemment.
Mais Jin, il l’imaginait un peu plus en couleur. Evidemment qu’il y avait du gris sinon finalement, ils se côtoieraient pas vraiment. Mais il le voyait plutôt vivre une vie d’artiste, pas comme Van Gogh ou l’autre enculé de Baudelaire sur un air de poésie mais davantage dans le genre à enchainer les soirées, à s’amuser, à prendre des décisions folles sur des coups de tête … A faire ses devoirs dans un club de striptease plutôt que dans une bibliothèque ? A la question du chinois, il avait haussé les épaules. « J’sais pas, j’traine pas dans les bibliothèques. » Il n’est également pas le plus investi dans ses études non plus …
Preuve finalement, que Jin n’est pas la copie conforme de ce qu’il lui avait imaginé. Il ne trainait pas plus dans les clubs de strip que lui ne se balade entre des étagères de livres. « Sérieux ? » Surpris mais pas déçu.
Ce n’est en tout cas cela qui allait l’empêcher de trinquer à cette journée en noir et blanc … et aux cours de math de Jin ? Il n’avait pas pu s’empêcher de pouffer de rire en l’écoutant parler de son amour pour les chiffres. Il en avait la tête ouais … « Wow, ça se voit que t’es un enfant prodige. » Honnêtement, il ne remettait pas en question son intelligence, seulement, il avait bien du mal à se voir soigneusement habillé, à faire du piano bien sagement sous le regard attentif et attendrie de ses parents.
Une chose était cependant sûre, aucun de leur parent ne serait enchanté de les voir avaler ses pilules. Leo lui avait enchaîné le pas, bien conscient que finalement, c’était une mauvaise idée mais quel genre de vendeur se refuserait à tester son propre produit ? Il devait au moins en vérifier la qualité.
« J’suis pas studieux, j’dois pouvoir compter sur les doigts d’une main le nombre de fois où j’y ai mis les pieds. » Il s’était finalement redressé pour prendre une cigarette. « Je l’ai jamais été et c’est pas ce qu’on attend de moi non plus. » La cigarette est allumée avant qu’il ne s’adosse de nouveau sur le canapé. « Je fais probablement des études pour rien ? A la rigueur on pourrait se dire que ça me servirait en sortant de taule si je me fais chopper mais t’embaucherai un chimiste qui vient de sortir de taule pour trafic de stupéfiant toi ? » … Oui bon, peut-être que Jin le ferait.
Il avait fini par hausser les épaules. « Dans le fond, j’perds juste mon temps. » Et dans une famille comme la sienne, le temps, c’est de l’argent. « Tu fais des études en quoi ? »

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ft. @Hwang Leo

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« J’vais pas te proposer d’te faire découvrir, j’tiens pas à t’entraîner dans la dépression. » c’est sûr que là, tous les deux, ils sont au top de la joie, alors autant ne pas tout gâcher en esquivant les bibliothèques.
Leo est pas mal en fournisseur. Sans rire. ça l’emmerderait d’avoir à chercher ailleurs.
Ok, pour les urgences ça arrive. La situation fait qu’on manque parfois de fidélité. Et on le regrette aussi parfois, durement.
A Gwangju, il a l’impression de gérer un peu ça.
Dans le fond, il a toujours l’impression de gérer un peu ça.
Parce que les faits sont là, son frère ne l’a jamais cramé non ? Et c’est l’essentiel… tant que Dan n’y voit rien… tant qu’il ne sait pas… la faiblesse est permise.
« Ouais je trouve ça surcoté. » et parfois même que ça manque de classe ?
Un comble, quand on sait les trucs qu’il peut faire parfois. Mais il ne rentre juste pas dans cette catégorie de la haute qui va s’encanailler dans un club de striptease le soir venu.

« J’suis le Mozart de Pythagore. » peut-on être sérieux cinq minutes ?
Ici ?
Ce n’est pas vraiment pour ça qu’ils sont venus.
Ils sont venus pour tromper la déprime … déprime qui sera chassée d’ici une quinzaine de minutes.
Aucune sensation de remords. Aucune pensée pour l’accuser d’avoir merdé, ou de ne pas avoir tenu bon. Faut être franc, il recommencera et il le sait.
Alors il tire sur sa clope sans s’insulter.

« Bah… moi j’tembauche. Mon type c’est toujours le vilain petit canard d’la portée. » parce qu’il en faisait un beau ?
On aimerait bien le voir ça… recommander à son père d’embaucher un mec qui sort de taule !
Inutile. Qu’est-ce qu’il ferait plus tard pour son père ?
Pas grand chose. Il menait sa barque.
« Pourquoi tu vas toujours en cours alors ? » quelqu’un à rendre fier ? Une promesse ou une autre forme d’engagement ?
Il sait bien que ça ne le regarde pas et qu’au mieux ils font que se défoncer ensemble. Mais la curiosité est réciproque et l’honnêteté sort de sa bouche de son côté
« Psycho. J’ai tout un parcours dans ma tête, j’veux me spécialiser en criminologie. Ouais moi, j’tassure, c’est pas une blague. » dit le type qui vient de consommer du lsd… oui, ça peut sonner comme une blague… surtout venant de lui « J’sais pas, à un moment donné dans ma tête j’me suis dit, viens Jin tu deviens profiler, t’étudies tes semblables. » c’est sûr que des études en p’tit con y’a pas… et puis devenir magicien… bah c’était qu’un rêve de gosse bon à enterrer à l’instant même où il s’est fait « Mais t’inquiètes, j’ai pas prévu de m’attaquer aux distributeurs de bonheur. »

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ft. @Wu Jin

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Y’a-t-il réellement des gens qui s’épanouissent dans des bibliothèques ? Oh des Jedi de ces temps modernes mais personne que tu ne connaisses réellement.
Alors évidemment, il n’insistait pas quand le démon lui exprimer son refus de lui faire découvrir les joies ou plutôt l’absence de joie que propose ce lieu sacré par d’autres. « Tout à l’heure on parlait de manières de mettre fin à nos souffrances … T’es entrain de dire que les bibli sont pires que la mort ? » Il serait toujours moins étonné d’apprendre que ces lieux de paix et d’instruction sont un avant goût de l’enfer que de découvrir que Jin n’est pas très adepte des club de striptease. Comme quoi, il ne faut pas se baser sur des idées préconçues ?
Par exemple, qui aurait pu imaginer que le jeune homme était un génie des chiffres ? Qu’on se mette d’accord, Leo n’a jamais pensé que le chinois était con. Néanmoins, il ne l’aurait jamais imaginé bon élève ou né avec un autre boulier que le sien à la naissance. Peut-être que dans un autre monde, sous une autre forme il aurait pu ajouter : Et quel boulier !
Mais ce n’est pas le genre de chose que Leo veut savoir.
En l’occurrence, il préfère savoir si les produits qu’il vend son bon, même si dans le fond, il n’en doutait pas un seul instant. Finalement, ce n’était qu’un prétexte tout préparé pour se laisser aller quelques instants, pour passer l’interdit.
Un bon vendeur mais un mauvais élève ?
Il l’admettait volontiers. Dans le fond, ce n’est pas comme si quiconque allait lui tomber dessus parce qu’il a raté ses examens. Dans sa famille, du moins du côté de son père, ses études ne sont que superflues. Rien qui ne l’aidera dans la vie, dans leur vie du moins, à moins que Jin ne se reconvertisse dans les ressources humaines.
Le rire qui avait passé ses lèvres était franc. « Et je t’embaucherai aussi si un jour tu finis en taule. » Un prank qui aurait mal tourné ? La légende raconte que quelque part, pile à instant, un coiffeur a senti un frisson le parcourir et faire vibrer son petit cul musclé. Pourtant, ce n’est pas près d’arriver et ça n’arrivera jamais ... Pas vrai ?
« J’sais pas, ça me donne une impression de normalité je dirai ? » Il avait haussé les épaules. « Le regard des gens changent dès qu’ils savent. Et puis, dans d’autres circonstances, ça ramène des clients. » En soit aller en cours le fait chier mais à choisir, il préfère y aller ?
C’est globalement l’idée.
Le plan de vie du démon chinois semblait bien plus élaboré.
Il ne mentira pas, il s’est un peu marré quand il s’est immédiatement défendu en prétendant que ce n’était pas une blague. Finalement, Jin c’est mec qui est partout où on ne l’attend pas. « Tu veux étudier tes semblables pour les surpasser ? » Un sourire s’était étendu sur ses lèvres. « Tu vas résoudre des affaires à coup de : moi j’aurai fait ça en tout cas. » Il le voyait déjà, le regard abattu des agents face à de telles paroles pour finalement se rendre compte qu’il avait raison. « Et à tout ces prisonniers qui répèteront en boucle dans leur cellule : Il était dans ma tête. » Oui bon, ça il n’y a pas nécessaire besoin d’être en taule pour être hanté par le chinois. Un nouveau frison pour le coiffeur ?
Et sans qu’il ne s’en rende vraiment compte, les couleurs devenaient de plus en plus vives, de plus en plus intenses. « Autant j’suis pas contre l’idée que tu m’embauches mais alors j’suis carrément contre celle où tu me fous au chômage ! Le monde est déjà suffisamment triste comme ça ? Tu pourrais finir par ne faire uniquement des thérapies aux dépressifs comme nous aujourd’hui … » Comment pourrait-il les empêcher de sauter de ce pont ?

(c) DΛNDELION

˗ˏˋ ´ˎ˗

ne me demande pas la lune, j'ai beaucoup mieux pour toi.

Voilà ce que je propose : … Qu’est-ce que vous en pensez ?

ft. @Hwang Leo

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« Si tu veux trouver un endroit pire que la mort, j’temmène chez mes parents, tu vas voir l’envie de crever est on top. » un million de fois pire que la bibli la plus déprimante du Monde.
Sont-ils là pour étudier ?
Non.
Sont-ils là pour souffrir ?
Oui et non du coup.
Ce qu’ils consomment ne fait pas spécialement du bien à leurs corps.
Le chinois s’en moque, évidemment.
Son cerveau fonctionnel ne l’empêche pas d’être con. A chacun son chemin pour noyer ses tortures, le sien est dans le masochisme faut croire.

« ça me rassure de savoir que ma vie ne sera pas entièrement gâchée le jour où ça m’arrive. Merci, t’es un bon.. »
Un bon élève appliqué ?
« Ouais j’vois le genre. » après tout, lui aussi fait des trucs “normaux”. Question de programmation d’humain, il imagine.
Ceci dit, ses études, il les trouve un peu cools de son côté. Et ce n’est pas forcément le chemin imposé, loin de là, que son père aurait choisi pour lui. Sans doute un facteur de plus pour aimer ce qu’il fait.
« Ouais. T’as raison. J’pense que tous ne sont que des amateurs à côté d’une créature véritablement recrachée par les enfers. » ça va les chevilles démoniaques ? « Terrifier mes frères et devenir leur seigneur. » peu de chances qu’ils votent pour toi sur le trône des enfers si tu les places derrières des barreaux mais à chacun son délire.

Il ne pourra que délirer davantage vu l’état dans lequel il commence à se trouver. ça fait du bien. Véritable magie que cette substance et il laisse sa tête reposer un instant sur le dossier du fauteuil pour fixer le plafond
« T’inquiètes, j’tai dit que j’avais rien contre les distributeurs de bonheur. Travaille en paix mon frère. » oui mais si tu mets sa clientèle derrière les barreaux ? « J’compte être sélectif sur le choix de mes cibles. » laisser au monde les gens fun comme eux… ouais.
« En plus faire des thérapies, j’crois que c’est pas mon truc, j’pense j’me ferai chier… même si à mon avis j’manquerai pas de boulot » parce que les rues du coin semblent parfois rimer avec déprimantes selon lui ?
Quelque chose comme ça oui.

(c) DΛNDELION

˗ˏˋ ´ˎ˗

experience 626

I'm gonna wreck it!

Voilà ce que je propose : … Qu’est-ce que vous en pensez ?

ft. @Wu Jin

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Une vague impression que Mercredi Adams serait ravie de se joindre à leur conversation.
Une douce odeur de déprime où les possibles morts et lieux où la trouver sont énoncés.
Bus, bibliothèque, chez les parents Wu ?
« Pourquoi chez tes parents ? » Il avait laissé un petit sourire se dessiner sur ses lèvres. « On y mange avec le petit doigt levé ? Il y a un type qui te présente le vin avant de vous le servir après avoir fait sonné la cloche du repas, pendant que tu étais entrain de lire dans une pièce composée de beaucoup trop de livres ? » Devait-il le mot interdit ? Celui qui commence par bibli ?
Leo n’irait pas jusqu’à dire que ses parents sont d’un ennui mortel … Dans le fond, il n’y a pas vraiment de quoi se laisser abattre. Une mère en hôpital psychiatrique, un père en prison … Oh non, il faut dire qu’ils ne sont pas trop chiants là où ils sont ?

En tout cas, Leo ne sera pas de ces types des Ressources Humaines qui tiquent pour un petit excès de vitesse inscrit sur le casier. Quand on veut embaucher un Djinn, il vaut mieux ne pas être trop regardant. Et ne surtout pas être suspicieux lorsqu’il se met à dégainer des citations épiques ? Terrifier mes frères et devenir leur seigneur. « T’es le génie de la boîte de Pandore ? » Il fallait bien avouer que Leo au moins, ce moment épique, ça l’avait fait marrer. « T’imagine ? Tu pourrais interviewer des grands psychopathes. » T’es entrain de dire que Jin est un psychopathe ? « J’dis pas que t’en est un. Mais blague à part, tu pourrais analyser des grands tueurs en série ou j’en sais rien. » Ouais après tout, on en sait rien si il ressent vraiment des trucs Jin … Faire épiler le sif de son ami, faut admettre que ça peut amener des doutes … « Moi j’trouverai ça stylé. » Foutre le démon chinois dans une pièce enfermée avec un serial killer, j’suis pas sûr que ce soit une bonne idée … Il pourrait finir par le terroriser.
…
Jin qui terrorise le tueur. Pas l’inverse au cas où vous en doutiez.
« Ca doit être chiant comme la lune de faire des thérapies … » Ecouter des gens parler de leurs problèmes et essayer de leur donner des outils pour les résoudre alors que nous avons nos propres problèmes à régler ? C’est un concept, oui. « Mais tu vois, après ça, je sais pas si t’en ressort en te disant : J’ai une vie de merde ou alors si finalement, tu te rends compte qu’elle est plutôt cool. »

(c) DΛNDELION

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ne me demande pas la lune, j'ai beaucoup mieux pour toi.

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